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Les graphiques ci-dessus illustrent les résultats d'analyse d’un test, mettant en évidence les éléments minéraux, les métaux lourds, les ratios métaboliques, les éléments additionnels, ainsi que les ratios toxiques et additionnels (présentés de gauche à droite et de haut en bas). A titre d’exemple, voici quelques points de cette analyse:

  • Ca (calcium)-Niveau trop élevé indiquant un besoin en vitamines (A, B1, K2), magnésium, bore, et potentiellement en iode, dépendamment du taux de sodium. En excès, il peut favoriser la calcification des tissus, réduisant ainsi la perméabilité cellulaire aux hormones et aux nutriments, tout en augmentant l’inflammation, le vieillissement cutané précoce et le risque de douleurs articulaires.

  • Mg (magnésium)-Niveau excessivement élevé indiquant une perte sévère liée à un stress métabolique et à un dépôt de calcium cellulaire, empêchant le magnésium de pénétrer dans la cellule.

  • Na (sodium) et K (potassium)- Niveaux insuffisants, associés entre autres à une faible fonction des glandes surrénales, à une baisse d’énergie et à un déficit en acidité gastrique, pouvant entraîner des ballonnements et des troubles digestifs. Un manque de sodium et de potassium favorise le vieillissement accéléré en causant une précipitation des minéraux dans les tissus.

  • Cu (cuivre)-La toxicité du cuivre (Cu) entraîne une déplétion en zinc (Zn), reflétant un stress oxydatif élevé, un déséquilibre immunitaire et hormonal, ainsi qu’un ralentissement de la fonction surrénalienne (indiqué par un ratio Na/Mg insuffisant). Cet excès peut résulter d’une exposition exogène et/ou d’un déficit en céruloplasmine, favorisant l’accumulation de cuivre non biodisponible, donc inutilisable par l’organisme. Parmi les facteurs en cause : l’historique de prise de la pilule contraceptive ou du stérilet, l’utilisation d’hormones, la supplémentation en vitamine D3 menant à une insuffisance en vitamine A, le stress chronique et une fonction biliaire et hépatique non optimale. Parmi les symptômes caractéristiques figurent les migraines, les troubles du sommeil, l’anxiété ou la dépression, les déséquilibres menstruels et les troubles de la fertilité, les infections chroniques et les varices.

  • P (phosphore)- Niveau insuffisant, révélateur d’un apport protéique inadéquat, d’un déficit en acidité gastrique et de possibles troubles d’absorption.

  • Mn (manganese)-Niveau insuffisant, indiquant un baisse de production d’énergie, une activité thyroïdienne ralentie et une sécrétion biliaire non adéquate. Un niveau de sodium et de manganèse bas est un indicateur d’un stress chronique.

  • Ca/P (ratio calcium/phosphore)-Ratio excessivement élevé reflétant une dominance du système nerveux parasympathique, associée à une tendance à la dépression, à l’anxiété et à la fatigue chronique.

  • Ca/K (ratio calcium/potassium)- Ratio excessivement élevé, révélant une faible perméabilité cellulaire aux hormones thyroïdiennes, se traduisant par des symptômes de type hypothyroïdie, malgré un bilan sanguin normal : prise de poids ou difficulté à en perdre, troubles de la fertilité, fatigue, chute de cheveux, extrémités froides et constipation.

  • Hg (mercure)-Toxicité causant une perte de minéraux essentiels comme le sélénium et le zinc, en lien avec une déficience immunitaire. Le mercure s’accumule typiquement au cerveau et dans le foie, interférant avec les réactions enzymatiques et causant du stress oxydatif.

  • Le type métabolique, ici “slow oxidizer type 1", ainsi que la glycémie (ratio Ca/Mg) permet d’adapter avec précision les besoins en lipides, glucides et protéines, propres à chacun.

Quelle approche? Une stratégie personnalisée combinant un plan nutritionnel adapté, des ajustements du mode de vie et une supplémentation ciblée pour restaurer l’équilibre cellulaire et favoriser l’élimination des métaux lourds. Cette approche globale et complète est essentielle : amorcer une détoxification sans apporter les nutriments nécessaires en remplacement pourrait fragiliser l’organisme.